La nuit est tombée, il pleut et pourtant un arrachement : des yeux rouges, des mouchoirs, des promesses « On va se revoir bientôt, on va garder le contact», des accolades et des embrassades.

18 heures, quelques petits coups de klaxon, un chant d’au revoir pour chasser l’émotion et le car démarre. Prochain arrêt et repas vers 20h30.


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